Summary: | Bien que sa croissance ait bien résisté aux chocs ces dernières années, le Togo fait face à un niveau élevé d’insécurité alimentaire et d’attaques terroristes, et ses besoins en matière de développement demeurent considérables. Les déficits budgétaires et la dette ont augmenté, ce qui a eu pour effet d’annuler la baisse de l’endettement obtenue au cours de la période de l’accord FEC de 2017–20, de réduire la marge de manoeuvre budgétaire et les réserves permettant d’absorber les chocs, et de contribuer aux vulnérabilités au sein de l’Union économique et monétaire ouestafricaine (UEMOA). Deux banques sous-capitalisées, l’une publique et l’autre récemment privatisée, font peser des risques sur la stabilité du secteur financier et sur les finances publiques. Les autorités sollicitent un soutien financier de 200 % de la quote-part du Togo (293,60 millions de DTS) dans le cadre d’un accord au titre de la FEC d’une durée de 42 mois
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