Finances & Développement, décembre 2011

Eswar Prasad, professeur à Cornell, se penche sur une inversion des rôles à l’échelle mondiale : ce sont les pays émergents, et non les pays avancés, qui résistent le mieux à la crise économique mondiale. John Quiggin, professeur à l’université de Queensland et auteur de Zombie Economics, se demande...

Full description

Bibliographic Details
Corporate Author: International Monetary Fund External Relations Dept
Format: eBook
Published: Washington, D.C. International Monetary Fund 2011
Series:Finance & Development
Subjects:
Online Access:
Collection: International Monetary Fund - Collection details see MPG.ReNa
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653 |a Finance 
653 |a Public finance & taxation 
653 |a National Government Expenditures and Education 
653 |a Exports and Imports 
653 |a General Financial Markets: General (includes Measurement and Data) 
653 |a International economics 
653 |a National Government Expenditures and Related Policies: General 
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653 |a Commodities 
653 |a Emerging and frontier financial markets 
653 |a Education: General 
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520 |a Eswar Prasad, professeur à Cornell, se penche sur une inversion des rôles à l’échelle mondiale : ce sont les pays émergents, et non les pays avancés, qui résistent le mieux à la crise économique mondiale. John Quiggin, professeur à l’université de Queensland et auteur de Zombie Economics, se demande si la vente d’entreprises publiques se justifie dans bon nombre de cas. Raghuram Rajan et Rodney Ramcharan, économistes respectivement à l’université de Chicago et à la Réserve fédérale américaine, trouve des explications des cycles actuels d’emballement et d’effondrement des prix des actifs dans l’évolution des prix des terres agricoles aux États-Unis il y a cent ans 
520 |a Paul Collier, économiste à l’université d’Oxford, examine une composante cruciale des infrastructures qui sont nécessaires en Afrique : les chemins de fer. Le continent africain est particulièrement adapté au rail, dont le développement a été freiné par des facteurs politiques plutôt qu’économiques. Mais alors même que l’Afrique subsaharienne prospère, les résultats de sa plus grande et plus importante économie, l’Afrique du Sud, ont été médiocres ces dernières années. Nous traçons aussi le profil de Ngozi Okonjo-Iweala, la responsable de l’économie du Nigéria, dont les tenues tranchent par leurs couleurs éclatantes. « Pleins feux » prévoit à quoi ressemblera l’Afrique dans cinquante ans à partir des tendances actuelles et « Gros plan » examine la progression du commerce régional en Afrique.  
520 |a On dispose de données de plus en plus nombreuses qui montrent qu’un récent regain de prospérité économique en Afrique pourrait être durable. Dans le premier article de notre dossier « La classe moyenne, moteur de l’Afrique », Calestous Juma, professeur à Harvard, note que l’accent a été mis trop longtemps sur l’éradication de la pauvreté grâce à l’aide plutôt que sur la prospérité grâce à de meilleures infrastructures, à l’éducation, à l’entreprenariat et au commerce. Les choses changent aujourd’hui, et les pouvoirs publics privilégient des politiques qui produisent une classe moyenne. La nouvelle classe moyenne africaine n’a peut-être pas le pouvoir d’achat d’une classe moyenne occidentale, mais elle demande suffisamment de biens et de services pour soutenir une croissance économique plus vigoureuse, qui, comme l’indique Antoinette Sayeh, Directrice du Département Afrique du FMI, profite aux plus pauvres.